Bon.
S'asseoir et pleurer, c'est bien, mais ça règle rarement les problèmes tout seul.
Gnnniiih! Nididjiou!
Ok, cette espèce de foutue argile n'était pas chère, et ne remplissait pas ses promesses : une après-midi entière de foutue en l'air (comme si j'avais du temps à
perdre!).
On va donc passer à autre chose : le Plastiroc® de chez Giotto (c'est pas que je veuille leur faire de la pub, mais au moins, leur produit rempli ses promesses,
LUI!).
Bon, évidemment, c'est un peu plus cher. Gnniih!
Bon, aussi c'est un chouïa moins malléable : ça réagit un peu plus comme une sorte de pate à papier très consistante, et du coup, on arrive moins facilement à
obtenir des détails.
1- Tout casser, et modifier l'armature
Inenvisageable d'essayer de boucher les trous au plastiroc, l'ancienne matière utilisée finira de toutes façon par partir en morceau, donc, on casse tout.
J'en profite pour modifier l'armature : les espèces d'ailerons sous les cornes ne me plaisaient pas, je les remplace donc pas d'autres cornes :
2- L'habillage (bis repetita placent)
Même en mouillant, le plastiroc a plus de mal à coller sur lui-même. Non, en fait, il colle bien, mais on a du mal à lisser les bordures qu'on vient de relier. En
tous cas, plus qu'avec l'autre foutue argile. Du coup, j'aurais tendance à mettre plus de temps.
Mais comme j'ai déjà fait ça une première fois, j'en gagne en ne refaisant pas les mêmes erreurs et en sachant ou je vais. Du coup, au final, en terme de temps, ça
doit se valoir.
Et voilà. Il ne reste plus qu'à attendre que ça sèche, SANS CRAQUER, et à fignoler la peinture, voire à ajouter quelques petits détails sur le support sec (ça sera
plus facile que sur le support mou).
Pendant que j'y suis, voici l'une des autres réalisations que nous avons fait, plus réussie celle là : excalibur dans son rocher :
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